lundi 8 avril 2024

Hommage à l'ONEP le 30 Mars 2024 aux martyrs du pétrole de Perenco - nos dernières vidéos

 


Partie 1






Partie 2

L'accident mortel de la plateforme Becuna de Perenco pose de nombreuses questions d'intérêt national et international

 

La lecture d’articles de la presse spécialisée anglosaxonne est plus instructive que la presse nationale gabonaise. Nous avons en particulier détecté deux articles (liens ci-après) que nous vous invitons à lire. Ces articles bien documentés nous invitent à poser les questions suivantes pour orienter les débats.



Source : Offshore Energy

Source : Google Maps

La plateforme Becuna est située sur le champ pétrolière Simba, au large de Bango / Ezango.

En complément des questions directes posées au management de Perenco dans le premier article, ci-joint nos questions (non exhaustives) pour mieux comprendre les tenants et aboutissants de cette catastrophe :

Le swap d'actifs entre les opérateurs Tullow Oil Gabon et Perenco Oil and Gas Gabon en Avril 2023 a-t-il changé le statut en terme d’assurance de la plateforme Becuna, sur le champs pétrolifère Simba ?
En termes plus clairs, Perenco Oil and Gas Gabon est elle assurée contre ce risque ? Si oui, quelle compagnie assure la société Perenco Oil and Gas Gabon ? Si Perenco Oil and Gas Gabon n’est pas assurée, saura t’elle capable de couvrir toutes les charges financières liées aux dégâts de ce nouvel accident majeur qui était malheureusement attendu ?

Pourquoi Perenco est-elle autorisée à utiliser des opérateurs de contrôle non IACS, alors que les majors pétroliers utilisent des sociétés d'audit IACS ?

Existe-t-il un tracé à jour des pipelines reliant les champs pétroliers offshore et onshore vers les terminaux pétroliers de Port Gentil et de Gamba ? Dans quel état sont-ils ?

L'explosion puis l'incendie et l'exploitation de plateforme Becuna ont-ils été stoppés ? Quand ? Quelles quantités de brut ont été déversées en mer ? Quelles mesures ont-elles été prises pour canaliser la pollution marine ? Comment cette pollution marine a-t-elle été traitée ? Cette pollution pétrolière est-elle la seule cause de l'interdiction de la pêche dans la zone de l'estuaire de Libreville décrétée par le gouvernement ? L'AGASA qui est en charge des biopsies des poissons morts a-t-elle l'équipement nécessaire pour analyser rapidement un échantillon significatif ? Dans quel délai fournira t'elle ses conclusions au public ?

En attendant, les populations locales sont privées de leur source de nourriture principale. Comment gèrent-elles cette situation ? Se retournent vers des ressources carnées ? A quel prix ? Quelles sont les aides fournies par le gouvernement ? Quelles sont les aides accordées aux pêcheurs qui ont perdu leur activité ? Quand est-il de l'impact sur l'eau potable pour la population de Libreville ? Le poisson vendu à Port Gentil est-il aussi susceptible d'être contaminé ? Quelles sont les conséquences de cette contamination sur la santé des populations ?

Comment s'assurer que les organismes de contrôle vont protéger efficacement les populations, la faune et la flore ?

Au final, comment estimer les dégâts financiers, humains et environnementaux causés par cet énième accident pétrolier au Gabon sur une plateforme pétrolière gérée par l'opérateur low cost Perenco ? Le Gabon pourra t’il enfin faire appliquer le principe du Pollueur Payeur, qui fait partie intégrante des lois gabonaises ?


Le Gabon pourra t'il être rendu responsable d'une pollution pétrolière impactant la Guinée Equatoriale, et tout le golfe de Guinée ?

Si vous avez des éléments qui nous permettent de mieux comprendre cette situation, contactez-nous.
Notre email : h2ogabon@yahoo.fr. Votre anonymat est garanti.


Nos sources :

https://www.bairdmaritime.com/work-boat-world/offshore-world/column-perencos-shame-and-gabons-lax-standards-a-fatal-combination-offshore-accounts

https://www.offshore-energy.biz/two-oil-gas-players-engage-in-asset-swap




dimanche 31 mars 2024

mercredi 27 mars 2024

Célébration de la Journée Mondiale de l'eau le 22 Mars 2024 avec l'ONG Les Potagers Ecoliers Bio du Monde

 


Dans le cadre de la célébration de la Journée Mondiale de l'eau le 22 Mars 2024, ayant pour thème : " L'eau pour la paix ", l'ONG LES POTAGERS BIO ECOLIERS DU MONDE, en collaboration avec l'organisme EAU-ONU, a organisé des activités éducatives et d'éveil pour les enfants.

Cette célébration, marquée par la présence de Monsieur le Sous-Préfet de Mpaga, Monsieur BOUNANGA BOUAMY Nancy, représentant Madame le Préfet et Monsieur le Gouverneur de la Province de l'Ogooué-Maritime, empêchés. Cette Journée Mondiale était axée autour de plusieurs activités sur l'eau avec la participation de la SEEG et de l'ONG HO GABON. 

C'est à 10h que la salle de la Direction Provinciale des Affaires Sociales de l'Ogooué-Maritime a accueilli Monsieur le Sous-Préfet de Mpaga. Après les honneurs dûs à son rang, ce dernier a ouvert officiellement la célébration de la Journée Mondiale de l'eau 2024 par la lecture circonstancielle du message de Monsieur le Secrétaire Général de l'ONU sur la thématique de l'année : " L'eau pour la paix ".

Message qui invitait les peuples à s'engager et à travailler ensemble, pour faire de l'eau une force de coopération, d'harmonie et de stabilité, et de contribuer ainsi à construire un monde de paix et de prospérité. 

Après ce propos introductif, la parole a été donnée à Madame ADANHODOU ISSENDA Regina, Estelle, Trésorière de l'ONG " Les Potagers Bio Écoliers du monde " qui était en charge de présenter à l'assistance les missions et objectifs de l'ONG ainsi que ces activités menées avec les enfants, depuis 2 ans. Le programme était le suivant :

 

1/ Une Conférence-Débat sur le thème : " L'eau pour la paix ", animée par les intervenants suivants : Monsieur MIHINDOU Joseph, Coordonnateur Exploitation-Eau à la Société d'Energie et d'Eau du Gabon (SEEG) et de Monsieur AUGUSTE Henri, Michel, Président de l'ONG H0 GABON,

2/ La prestation du slameur Monsieur ENGOANG. Christian (Icone),

3/ Les messages de sensibilisation des enfants par l'ONG Les Potagers Bio Écoliers du Monde : l'IMPORTANCE et la PRÉSERVATION de l'eau,

4/ Un message adressé à l'attention du Général Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, Président de la Transition, Chef de l'Etat, lu par un des enfants de l'ONG " LES POTAGERS BIO ECOLIERS DU MONDE ",

5/ La remise d'attestations de participation de l'organisme Eau-Onu de la Journée Mondiale de l'eau, par Monsieur le Sous-Préfet, du Représentant de la SEEG et Président de l'ONG H2O GABON, suivie de photos de famille et d'un buffet,

6/ Remise symbolique d'un don de packs d'eau à la Direction Provinciale des Affaires Sociales, en soutien aux familles en difficulté, par les enfants de l'ONG " Les Potagers Bio Écoliers du Monde ".

 

Ensuite la Conférence-Débat a été ouverte par le premier intervenant Monsieur MIHINDOU Joseph, Coordonnateur Exploitation-Eau à la Société d'Energie et d'Eau du Gabon (SEEG) qui a avec brio expliqué à l'assistance les mécanismes de transport d'eau de la station de pompage de Mandorové vers les robinets de nos ménages. 

Il a également expliqué que face aux besoins qui ne cessent de croitre, la SEEG multiplie les actions et les investissements pour pouvoir desservir la population. Mais l'augmentation exponentielle de la population et son installation anarchique dans la ville, amenuise les efforts engagés préalablement.

Outre ces contraintes, la société doit également conjuguer avec les branchements illicites des populations, mais tant bien que mal elle s'efforce de palier régulièrement aux difficultés rencontrées au quotidien par les populations au cas par cas.

Le 2ème intervenant était Monsieur Henri, Michel AUGUSTE, Président de l'ONG H0 GABON qui s'est chargé d'entretenir l'assistance sur le thème retenu : " L'eau pour la paix ".

Monsieur AUGUSTE a quant à lui expliqué à l'assistance que l'accès à l'eau est un droit humain et fait partie des objectifs durables à l'horizon 2030. Il faut que nous soyons conscients de l'importance de l'eau en tant qu'élément de la Vie et d'un bien commun pour la survie des êtres vivants sur Terre. Que les pénuries d'eau créent des frustrations et des conflits entre des Etats, des situations de stress dans les populations, les animaux et les plantes, des risques sanitaires liés à la consommation d'une eau qui n'a pas été potabilisée. Pour ce faire nous devons la préserver précieusement.

Démonstration de ce que représente l'eau sur Terre et les pourcentages des différentes eaux.


A la suite de Monsieur AUGUSTE, un jeune artiste slameur appelé ENGOUANG Christian est intervenu devant l’auditoire. Il a slamé avec ses rimes, puis a invité l'assistance à se prêter au jeu en composant séance tenante un slam avec des mots choisis au hasard en rapport avec le thème de l'eau, un moment fort de joie, de partage entre l'artiste et le public.


Pour garder le même effet festif, le tour est revenu à 2 groupes d'enfants de passer sur scène et de nous présenter des conseils pratiques pour :

1/ Eviter le gaspillage de l'eau dans nos maisons,

2/ Les méthodes utilisées pour s'hydrater en cette période de forte canicule.

 

Après le passage des 2 groupes, le tour est venu à une enfant de l'ONG de lire le discours de circonstance au nom de la jeunesse du Gabon, adressé au Président de la Transition, Chef de l'Etat son excellence Brice Clotaire Oligui Nguema face aux problèmes récurrents de pénurie d'eau. Un discours qui a été acclamé par toute l'assistance.

Nous acheminant vers la fin de la cérémonie, Messieurs le Sous-Préfet, le Représentant de la SEEG et le Président de l'ONG HO GABON se sont prêtés à la séance de remise des attestations de participation (délivrées par l'Eau-ONU qui était le partenaire de cette journée) à tous ceux qui ont participé et assisté à ces activités.


Un don de plusieurs packs d'eau a été remis par les enfants de l'ONG pour les familles démunies en cette période de canicule, à la Direction Provinciale des affaires sociales, pour distribution. 

En conclusion, le Président de l'ONG les Potagers Bio Écoliers du Monde a remercié Monsieur le Sous-Préfet de Mpaga d'avoir rehaussé la célébration de cette journée mondiale de l'eau par sa présence et sa disponibilité. 

Il a renouvelé son engagement et celui de l'ONG Les Potagers Bio Écoliers du Monde à être un partenaire fiable, une force de proposition pour apporter son expérience pour sortir de crise face aux problèmes liés à la Préservation et la Protection de l'Environnement rencontrés par la jeunesse en particulier et par les populations en général. Il a tenu à remercier la Société SOBRAGA qui a répondu favorablement à sa demande de soutien matériel, ainsi que les invités qui ont effectué le déplacement pour célébrer avec les enfants cette journée mondiale de l'eau.


Cette célébration a été également l'occasion de rappeler à tous l'importance de l'eau, de sensibiliser nos gouvernants et les entreprises en charge de la question de l'eau dans notre pays de jouer pleinement leur rôle en mettant à la disposition des populations en ces temps de forte canicule de l'eau qui est source de vie.


À la population, il leur est également demandé de prendre des mesures adéquates afin de réduire le gaspillage d'eau en adoptant des pratiques économiques de préservation de l'eau dans nos maisons.

Chacun peut faire sa part pour préserver cette ressource et contribuer à un avenir durable.

D’après les participants, la célébration a connu un plein succès.

 

H. M. AUGUSTE,

Président, Conseiller Scientifique et Technique, membre de la Commission Scientifique et Technique de l'ONG HO GABON,
B. P. 1991,
Port-Gentil GABON,
TÉL : + 241 74 09 21 51 (Whatsapp),
Courriel : h2ogabon@yahoo.fr,
Blog : h2ogabon.blogspot.com,
Facebook : HO GABON


Remise à un enfant de son attestation de participation par le Président de l'ONG HGABON.


Remise à un enfant de son attestation par Monsieur le Représentant de la SEEG.


Remise de l'attestation à une participante par Monsieur le Sous-Préfet.



Photo de groupe avec les enfants

Photo de groupe des participants



samedi 23 mars 2024

Accident mortel sur une plateforme offshore de l’opérateur low cost Perenco





L’opérateur low cost Perenco, connu pour ses pratiques de production sur le fil du rasoir, vient de subir un nouvel incident de production majeur le 20 mars sur la plateforme Becuna, entraînant 5 morts, deux blessés graves et une personne disparue.

C’est l’accident pétrolier le plus grave du Gabon depuis les années 1980 et probablement depuis le début de la production pétrolière au Gabon dans les années 1950.

Nous demandons une enquête indépendante sur cet accident majeur.

Face à l’hostilité qui monte à Port Gentil contre cette société et les responsables politiques et médias qui sont intervenus avec nonchalance, nous demandons l’érection d’une stèle à Port Gentil en hommage aux disparus, avec la reconnaissance de la Nation.

Nous nous inclinons devant les familles des disparus et blessés.


 

Vidéos :

Feu sur la plateforme Becuna





Pollution marine récente



 

 

Pour aller plus loin – à lire sur notre blog

https://h2ogabon.blogspot.com/2021/01/perenco-au-gabon-une-longue-histoire-de_23.html
https://h2ogabon.blogspot.com/2021/04/le-systeme-perenco-le-profit-tout-prix.html
https://h2ogabon.blogspot.com/2022/04/alerte-nouvelle-pollution-de-perenco-au.html


lundi 11 mars 2024

Le Guatemala dit enfin adieu au pétrolier franco-britannique Perenco (Reporterre, le média de l'écologie)

 

Le Guatemala dit enfin adieu au pétrolier franco-britannique Perenco

Reporterre – le média de l’écologie
Par Mikaël Faujour

6 mars 2024 à 09h25
https://reporterre.net/Le-Guatemala-dit-enfin-adieu-au-petrolier-Perenco



Perenco au Guatemala, c’est fini. La compagnie franco-britannique va cesser d’exploiter le pétrole et de détruire l’environnement du pays : le nouveau gouvernement de centre-gauche ne va pas renouveler son contrat.

C’est une des premières décisions fortes du nouveau gouvernement du Guatemala, dirigé depuis mi-janvier par Bernardo Arevalo (centre-gauche). Trois semaines après le début de son mandat, le ministre de l’Énergie et des Mines a annoncé que le contrat d’exploitation pétrolière de Perenco ne sera pas renouvelé. La décision tranche avec l’histoire, cousue d’irrégularités, qu’a exposé une enquête de Reporterre, de la compagnie franco-britannique au Guatemala. Celle-ci avait sans cesse été soutenue par les autorités.

Ce pays de 14 millions d’habitants peut dire adieu aux forages et torchères de cette major, et à leurs corollaires : la destruction, depuis un quart de siècle, de la deuxième plus grande zone humide d’Amérique latine et celle de la santé des habitants. Un exemple ? Dans le nord du pays, près de forages du Campo Xan gérés par l’entreprise, « 30 % des grossesses se terminent par un décès à la naissance », s’alarmaient trois ONG en 2015 dans une lettre au Conseil des droits de l’Homme de l’Organisation des Nations unies (ONU).

Lire aussi : Le pétrolier franco-britannique Perenco dévaste le Guatemala

Deuxième groupe pétrolier français, Perenco a fait la fortune de la famille Perrodo (classée quinzième de France par Challenges en 2022) grâce à une spécialité : le rachat de puits considérés comme n’étant plus rentables afin d’en prolonger l’exploitation. C’est en 1999 qu’il avait acheté la concession guatémaltèque, qui courait jusqu’en 2010. À l’approche de son expiration, elle avait été prolongée de quinze ans par le président Álvaro Colom (centre-gauche). Une décision suspecte : trois ministres et le Conseil national des zones protégées (Conap) s’y étaient opposés, et aucune étude d’impact environnemental — pourtant obligatoire — n’avait été présentée.



Anciennes concessions pétrolières de Perenco en Amazonie. DR

En outre, Perenco enfreint une loi environnementale — comme dans bien des pays où il opère — car le site d’exploitation se trouve au cœur du parc national Laguna del Tigre, zone déclarée protégée en 1989 où sont interdites les activités humaines, à plus forte raison industrielles.

Une énième prolongation

Cela n’a pas empêché le président sortant, Alejandro Giammattei Falla (droite), un oligarque proche des milieux d’affaires, de tenter de prolonger la concession une fois de plus. Il fallait pour cela modifier la loi des hydrocarbures, qui n’autorise qu’une seule prorogation d’une durée de quinze ans – déjà accordée en 2010. Conçu pour ne bénéficier qu’à l’entreprise, le texte proposé au Congrès par le parti présidentiel a été aussitôt baptisé « loi Perenco » par ses opposants.

Il proposait que les contrats d’opérations pétrolières puissent être prolongés de vingt-cinq ans et sans appel d’offres jusqu’à atteindre « la limite économique du gisement ». C’est-à-dire le stade où « les coûts récupérables », à savoir les investissements réalisés par l’entreprise et remboursés par l’État, ne sont plus rentables.


Lire aussi : 
Au Guatemala, le pétrolier franco-britannique Perenco fait sa loi

Approuvé par le Congrès lors des deux premières lectures, le texte n’a pu faire l’objet d’une dernière lecture. Le parti du président avait pourtant tenté de hâter le vote de la loi avant le terme de la législature (en janvier 2024) – y compris en tentant d’acheter des votes, comme l’ont dénoncé des députés de l’opposition.

Perte d’argent pour l’État

Avec le renouvellement du Congrès et du président de la République, entrés en fonction en janvier 2024, le vent a tourné. Ainsi, le président de la commission de l’Énergie et des Mines et député du parti Vos (centre-gauche), Orlando Blanco, a-t-il signalé que, depuis 2014, le contrat de Perenco engendre des pertes pour l’État : « L’activité pétrolière de Perenco a généré 2,615 milliards de dollars (2,4 milliards d’euros) ; l’État a perçu 713 millions de dollars (657 millions d’euros) de redevances, mais a rendu à l’entreprise 896 millions de dollars (826 millions d’euros) » en raison du dispositif de « coûts récupérables ».

La fin des opérations de Perenco est donc prévue au terme du contrat, soit le 12 août 2025. Une table ronde réunira notamment le ministère de l’Environnement et des Ressources naturelles et le Conap afin, a annoncé le ministre de l’Énergie et des Mines Víctor Hugo Ventura, « d’analyser les étapes à suivre, d’assurer que la transition soit adéquate et que soient prises les mesures nécessaires dans le processus de fermeture ».

La multinationale, qui a extrait plus de 90 millions de barils de pétrole des terres du pays, a commencé dès juin 2023 à abandonner ses puits. À ce jour, 46 puits sur 59 sont encore actifs.

mercredi 6 mars 2024

Vagues de chaleur caniculaire à Port Gentil : notre constat, nos propositions

 


Intervention de Henri Michel Auguste, président de H2oGabon

-> repeindre les toits en blanc pour refléter la chaleur
-> transformer les ilots de chaleur